Pour se protéger des prétendues tentatives de renversement communistes, le président Hindenburg a signé le 28 février 1933 le "décret pour la protection du peuple et de l'État". Connu sous le nom de "décret d'urgence", il autorisait l'État à agir de manière arbitraire contre les opposants. Pour les nationaux-socialistes, il s'agissait d'une étape importante qui leur ouvrait la voie vers le pouvoir total.
Quelques jours plus tard, des "camps sauvages" ont été créés partout dans le Reich allemand. Ces lieux de torture pour les opposants politiques n'étaient pas du tout secrets. Ils étaient souvent situés au cœur des localités. Beaucoup d'entre eux se trouvaient en Saxe, qui était encore peu de temps auparavant un bastion du parti socialiste, leSPD et du parti communiste, le KPD.
Les camps de torture ont semé la terreur parmi les opposants au national-socialisme. En revanche, les partisans du nouveau pouvoir en place acceptent généralement les événements sans protester de manière significative.
Pour se protéger des prétendues tentatives de renversement communistes, le président Hindenburg a signé le 28 février 1933 le "décret pour la protection du peuple et de l'État". Connu sous le nom de "décret d'urgence", il autorisait l'État à agir de manière arbitraire contre les opposants. Pour les nationaux-socialistes, il s'agissait d'une étape importante qui leur ouvrait la voie vers le pouvoir total.
Quelques jours plus tard, des "camps sauvages" ont été créés partout dans le Reich allemand. Ces lieux de torture pour les opposants politiques n'étaient pas du tout secrets. Ils étaient souvent situés au cœur des localités. Beaucoup d'entre eux se trouvaient en Saxe, qui était encore peu de temps auparavant un bastion du parti socialiste, leSPD et du parti communiste, le KPD.
Les camps de torture ont semé la terreur parmi les opposants au national-socialisme. En revanche, les partisans du nouveau pouvoir en place acceptent généralement les événements sans protester de manière significative.